En Égypte comme dans les musées archéologiques du monde entier, il existe un bonheur infini partagé par trop peu d’initiés : déchiffrer les stèles polychromes, les statues et les sarcophages, les objets du quotidien, les inscriptions sacrées des temples ancestraux, des tombeaux royaux, des colosses monumentaux.
Dans l’Antiquité égyptienne, la pratique de la momification constitue un prérequis pour renaître dans l’Au-delà. Au fil des dynasties, les portes des ateliers d’embaumement s’ouvrent aux différentes strates sociales. Rituels et cérémonies funéraires se perfectionnent. Mastabas et tombes fleurissent dans le désert. Sarcophages et cercueils s’ornent de magnifiques scènes polychromes. Les sépultures deviennent de véritables trésors, attirant de nombreux pilleurs. Les pyramides sont forcées, les hypogées de la Vallée des Rois fouillés, les momies dépouillées. Un étonnant commerce de la mort s’installe, se transformant peu à peu en un vaste trafic d’antiquités.
Au fil de votre lecture, vous déchiffrerez Sept merveilles d’Égypte, comme le cercueil du directeur de domaine Khnoumhotep, le coffret d’oushebtis de l’artisan royal Parâmenkhou ou encore le pyramidion du scribe Râmosé.
Chaque volume de la série « Déchiffrer les hiéroglyphes » recèle, en début d’ouvrage, le même trésor : un manuel pratique de décodage des hiéroglyphes. Le défi est de taille : apprendre rapidement, de façon simple et ludique, à décrypter les hiéroglyphes égyptiens.
Voici la merveille d'Egypte en bonus du livre Les Mystères de la mort en Égypte :
Bande-annonce de la méthode d'apprentissage Déchiffrer les hiéroglyphes :
Passionnée de sciences et de lettres, d’égyptologie, d’art, de littérature fantastique, de phénomènes paranormaux, d’énigmes et de codes secrets, Luisa Gallerini est une romancière française. Sa mission ? Repousser les limites du réel en y invitant l’imaginaire et la poésie, le surnaturel et l’impossible, la spiritualité et l’invisible.
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